Laurent CHAMBAUD

Laurent Chambaud – Directeur de l’EHESP

Intervention le 23 novembre de 8h30 à 8h45

Introduction de la journée

Laurent Chambaud a pris ses fonctions à la tête de l’École de hautes études en santé publique.
Médecin de santé publique et inspecteur général des affaires sociales, il exerçait depuis juin 2012 les fonctions de conseiller chargé de l’organisation et l’animation de la politique de santé publique et de la sécurité sanitaire auprès de la ministre des affaires sociales et de la santé, Marisol Touraine.
Laurent Chambaud avait commencé sa carrière en service de protection maternelle infantile (PMI) de 1979 à 1980.

Il s’est ensuite installé au Québec où il a exercé en tant que médecin de santé publique au sein du réseau québécois de santé communautaire, jusqu’en 1987 et l’obtention d’une maîtrise de santé communautaire de l’Université de Montréal.

De retour, Laurent Chambaud a suivi la formation de médecin inspecteur de santé publique au sein de l’École nationale de santé publique en 1988 avant d’exercer ces fonctions à la direction départementale des Affaires sanitaires et sociales du Finistère jusqu’en 1990.
Cette année-là, il reprît le chemin de l’ENSP en tant qu’enseignant, jusqu’à 1996.

Expert national détaché auprès de la Commission européenne de 1996 à 1998 puis coordinateur du projet d’établissement de l’Institut de veille sanitaire cette dernière année, il avait par la suite pris la tête de la DDASS de la Mayenne jusqu’en 2002.

De 2002 à 2006, il a dirigé la direction régionale des affaires sanitaires et sociales de Franche-Comté.

Après un passage à l’Inspection générale des affaires sociales de 2006 à 2010, Laurent Chambaud a été nommé directeur de la santé publique de l’Agence régionale de santé d’Ile de France, poste qu’il avait quitté pour prendre ses fonctions en cabinet ministériel.

Quelles sont vos motivations pour participer au Congrès international de l’AdESM des 21, 22 et 23 novembre 2018 ?

L’EHESP a un rôle à jouer dans l’accompagnement des transformations nécessaires de notre système de santé notamment à travers la recherche et la formation. La spécificité de l’offre pôur promouvoir la santé mentale et organiser la psychiatrie doit être discutée. Ce congrès vient donc à point nommé.

Pourquoi recommanderiez‐vous de participer à ce congrès ?

C’est un lieu de débat, de discussion et de propositions sur la place de la santé mentale et de la psychiatrie dans les transformations en cours.